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Un atout

L’aéroport de Zaventem, également connu sous le nom de l’aéroport de Bruxelles, est le principal aéroport international de Belgique. C’est un atout pour notre ville, mais nous devons aussi protéger la qualité de vie de nos habitants. 

Une position intenable

Le développement du trafic aérien au cours des prochaines décennies est tel que la position de Zaventem deviendra à terme intenable, quel que soit le plan de répartition des nuisances. Les solutions annoncées ces dernières années par Mme Jacqueline Galant (MR) et son successeur François Bellot (MR) n’ont pas fondamentalement changé cette situation. Faute à la priorité absolue qui est donnée à l’emploi (qui risque d’ailleurs d’être largement mécanisé en 2035), au détriment de la santé des riverains.

En juillet 2023, et après les Etats-Généraux de l’aéroport, le ministre Ecolo Georges Gilkinet a proposé d’abolir les vols de nuit de 23:00 à 06:00. Les réactions ne se sont pas fait attendre,… 

Quelles solutions ?

Prolonger la piste 25L ?

Impossible à court ou moyen terme, compte tenu des nombreux recours juridiques attendus. Cette option n’offre pas non plus de solution pour les atterrissages [abusifs] en 01/07.

Déplacer l’aéroport ?

Ce serait à très, très long terme. Historiquement, il y a déjà eu plusieurs tentatives d’envisager le déplacement de tout ou partie de l’aéroport. La plus concrète est sans doute l’étude de 1992 qui proposait Chièvres (aéroport de l’OTAN, sur la route de Tournai) comme solution. Malheureusement, Hervé Hasquin (MR) s’y est opposé à l’époque.

Changer la répartition ?

Concentration sur certaines zones ? Dès le moment où des vols sont déplacés d’une région à une autre, on assiste immédiatement et logiquement à toutes sortes de réactions type NIMBY (Not In My BackYard). L’Oostrand, le Noordrand, les Régions bruxelloise et wallonne ne peuvent plus être divisés dans ce dossier : toutes les associations de défense de riverains et autorités concernées doivent travailler ensemble pour le bien du plus grand nombre.

La seule solution valable

Et il y a effectivement une solution : Zaventem pourrait devenir un City Airport, avec une diminution significative des vols de nuit et une limitation stricte des mouvements annuels.

Pour assurer sa rentabilité, il pourrait devenir un peu plus cher, en offrant un accès privilégié à la capitale pour le trafic adapté en profitant de sa position géographique exceptionnelle. Privilégier la qualité à la quantité. Les nuisances deviendraient alors raisonnables et seraient beaucoup mieux acceptées par les riverains.

Bien évidemment, il faut aussi que les décisions de justice soient appliquées, notamment en ce qui concerne les normes de vent utilisées pour décider du choix des pistes. 

La seule solution valable

Et il y a effectivement une solution : Zaventem pourrait devenir un City Airport, avec une diminution significative des vols de nuit et une limitation stricte des mouvements annuels.

Pour assurer sa rentabilité, il pourrait devenir un peu plus cher, en offrant un accès privilégié à la capitale pour le trafic adapté en profitant de sa position géographique exceptionnelle. Privilégier la qualité à la quantité. Les nuisances deviendraient alors raisonnables et seraient beaucoup mieux acceptées par les riverains.

Bien évidemment, il faut aussi que les décisions de justice soient appliquées, notamment en ce qui concerne les normes de vent utilisées pour décider du choix des pistes. 

Après des décennies de discussions au sein de différentes plateformes, il apparaît de plus en plus clairement que les restrictions d’exploitation sont à ce stade la seule façon de réduire globalement et durablement les nuisances aériennes.

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